voila le thème sur lequel nous débattrons le mercredi 9 juin ,20h 00 à la permanence UMP de Mont de Marsan !
Venez vous exprimer durant une heure et demie. Votre avis nous intéresse!!
cette soirée débat est ouverte aux adhérents ,militants et sympathisants . alors n'hésitez plus et poussez la porte de notre permanence de Mont de marsan , 10 RUE ARMAND DULAMON 40000 MONT DE MARSAN.
Pour plus de renseignements , vous pouvez contacter la permanence de mont de marsan au 05.58.79.88.13,le mardi, mercredi & vendredi de 17h à 19h
La France comptait alors 54 millions d'habitants, aujourd'hui nous sommes plus de 64 millions.
Ces dernières années le Conseil Constitutionnel avait alerté les
gouvernements successifs sur les disparités démographiques
grandissantes entre les départements,ce qui entraînait des " disparités
de représentation" peu conformes avec la Constitution.
La révision de la carte électorale a été engagée fin 2008. Le
principe retenu est d'attribuer un siège par tranche de 125 000
habitants contre 106 000 précédement, tout en conservant un nombre
inchangé de députés à l'Assemblée Nationale.
Les pertes de sièges dans les départements les moins peuplés venant compenser les gains de sièges dans les plus peuplés.
En ce qui concerne le département des Landes, l'augmentation de la population est constante des 10 dernières années.
En 1982 les Landes comptaient 297 000 habitants,
En 1999 327 000 habitants.
En 2009 plus de 361 000 habitants .
Toutefois cette croissance n'est pas uniforme dans les trois circonscriptions :
1 ère : 100 000 habitants en 1982 pour 119 000 habitants aujourd'hui (+ 19 000) 2 ème : 99 000 habitants en 1982 pour 139 000 habitants aujourd'hui (+ 40 000) 3 ème : 98 000 habitants en 1982 pour 104 000 habitants aujourd'hui ( + 6 000)
Il y avait une évidente nécessité de rééquilibrage grâce à un redécoupage.
Ainsi, le rattachement du canton de Peyrehorade à la troisième
circonscription permet une meilleure cohérence dans la répartition de
la population.
Aprés rééquilibrage, la première
circonscription demeure inchangée, la 2ème comptera 127 500 habitants
et la 3ème 115 500 habitants.
Grâce à la mobilisation de tous, le 7 juin 2009 nous avons remporté une victoire politique.
Nous remercions tous ceux qui ont contribué et soutenu cette campagne.
Ce succès montre que les Français ont mesuré le travail accompli par Nicolas SARKOZY lors de la présidence française de l'Union Européenne.
Nos députés élus vont prolonger cette action au Parlement Européen pour une Europe plus forte et plus protectrice.
Dans notre région nous avons obtenu notre meilleur résultat depuis 15 ans, avec 26.90% des suffrages nous doublons le nombre de députés. Nous n'avions que deux élus, nous en avons désormais quatre:
Dominique BAUDIS, Christine de VEYRAC,
Alain LAMASSOURE, Marie-Thérèse SANCHEZ SCHMID
Ainsi les trois régions du Sud-Ouest seront représentées au Parlement Européen.
Le PS comptait quatre députés, il n'en a plus que deux.
Sur ces nouvelles bases, nous devons maintenant nous mobiliser
pour les élections régionales de l'année prochaine autour du candidat
Je
suis heureux de pouvoir vous communiquer la liste UMP-Majorité présidentielle
pour le Sud Ouest ainsi que le projet « Quand l’Europe veut,
l’Europe peut » pour les élections européennes de juin prochain adoptés à l’unanimité par le Bureau Politique de l’UMP et
le Comité de la Majorité Présidentielle le 07 mai 2009.
Cordialement,
Dominique Baudis
Circonscription
"Sud-Ouest"
Aquitaine
- Languedoc-Roussillon - Midi-Pyrénées
1
– Dominique BAUDIS - Investi le 24 janvier 2009.
2
- Christine de VEYRAC (Haute-Garonne) - Député
européen, Présidente de la Fédération UMP
de la Haute-Garonne.
4- Marie-Thérèse SANCHEZ-SCHMIDT
(Pyrénées-Orientales), Adjointe au Maire de Perpignan.
5
- Franck PROUST (Gard) - Conseiller général,
Adjoint au Maire de Nîmes.
6
- Muriel BOULMIER (Lot et Garonne) - Vice-présidente du
Conseil économique et social régional, soutenue par le
Nouveau Centre et le Forum des Républicains Sociaux.
7
- Yves URIETA (Pyrénées-Atlantiques) - Ancien Maire
de Pau, Candidat de la Gauche Moderne.
8
- Annabelle BRUNET (Pyrénées-Orientales) -
Conseillère municipale de Perpignan, Candidate du Nouveau
Centre.
9 -
Aurélien PRADIE (Lot) - Conseiller Général
du Lot, Responsable Départemental des Jeunes Populaires du
Lot.
10
- Marie-France THERON (Gironde) - Maire de Portets. Candidate aux
élections sénatoriales en 2008.
11-Thierry MILLET (Gironde) - Conseiller municipal de Mérignac.
Candidat du Nouveau Centre.
12
- Christiane PIETERS (Gers) - Conseillère régionale
de Midi-Pyrénées.
13
- Mickaël CAMILLIERI (Hérault) - Membre du Bureau
national des Jeunes Populaires,
14
- Marie-Claude GOUGAUD (Gironde) - Conseillère municipale
de Carbon-Blanc.
15
- Jacques GODFRAIN (Aveyron) - Ancien ministre.
16
- Véronique LIPSOS-SALLENAVE (Pyrénées-Atlantiques)
- Conseillère municipale de Pau. Candidate du Nouveau Centre.
17
- Franck LAYRE-CASSOU (Hautes-Pyrénées) -
Conseiller municipal de Cauterets. Responsable départemental
des Jeunes Populaires des Hautes-Pyrénées.
18
- Marie-Agnès VAILHE-CIBERTIN-BLANC (Hérault) -
Maire de Popian.
19
- Jean-Marie CAILLAUD (Dordogne)
20
- Amélie ARRO (Aude) - Responsable départemental
des Jeunes Populaires de l’Aude.
Votez et faites voter le 07 juin 2009
"Art. 6. − Le scrutin ne durera qu’un jour. Il sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures."
Extrait du décret no 2009-456 du 23 avril 2009 portant convocation des électeurs pour l’élection des représentants au Parlement européen
Mayotte : comprendre les enjeux de la départementalisation
Les Mahorais appelés à voter, le
dimanche 29 mars, pour décider s’ils souhaitent conserver leur organisation
institutionnelle actuelle ou devenir un département français d’Outre-mer, au
même titre que la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane ou la Réunion.
Nicolas SARKOZY avait promis
l’organisation de ce vote lors de sa campagne présidentielle. Il s’agit d’un
engagement constant de l’Etat depuis une quarantaine d’années, promesse qui est
enfin tenue sur un territoire français depuis 1841.
Les Mahorais ont décidé de se
doter d’un statut départemental, Mayotte évoluera, à partir de 2011, vers le
droit commun des départements français Outre-mer, comme indiqué dans la feuille
de route du 16 décembre 2008 qui sert de base à la consultation.
Celle-ci prévoit notamment que
la convergence des aides sociales se fera à un rythme supportable pour les
entreprises et les exploitations agricoles locales, aujourd’hui presque
exemptes de charges sociales. Le passage brutal à un niveau d’imposition
métropolitain serait en effet une catastrophe pour l’économie mahoraise.
Dès lors, celui-ci sera ajusté
progressivement, et les aides sociales qui lui sont
liées progresseront au même
rythme.
1. Très concrètement, cela signifie
que les allocations sociales seront versées dès 2012, à un niveau supportable
par l’économie locale : les allocations pour les personnes âgées et pour les
adultes handicapés, qui existent déjà à Mayotte, seront augmentées tandis que
le RMI, l’Allocation parent isolé (API), l’Allocation de solidarité spécifique
(ASS) et l’Allocation de logement social (ALS) pourront désormais être perçus
par les Mahorais.
Dans un premier temps, leur
niveau sera d’environ le quart de leur montant en métropole, pour atteindre le niveau
métropolitain en 20 ans environ. C’est le seul rythme compatible avec le
maintien d’un niveau d’imposition raisonnable pourles entreprises sur place.
Sur une île où le chômage frappe au moins un quart de la population et où le
revenu moyen par habitant est de 63% du Smic, il s’agit d’une avancée sociale
considérable.
2. Cette départementalisation se
traduira en outre par des évolutions sociétales majeures, notamment par
l’alignement du droit des femmes sur celui des hommes et la fin de la polygamie
L’instauration d’un système judiciaire comparable à celui de la métropole,
permettra de rendre le cas échéant les décisions sur la base du statut
personnel des Mahorais, garanti par la Constitution.
3. Enfin, la
départementalisation de Mayotte permettra de stabiliser l’île et de l’arrimer
fermement au territoire national, sans que les uns ou les autres puissent
contester son appartenance à la France, constamment réaffirmée par les Mahorais
lors des référendums de 1958, de 1974, de 1976 ou encore de 2000.
La départementalisation n’est
certes pas la réponse à tous les défis que Mayotte doit relever. Elle constitue
toutefois une avancée importante pour l’Ile, qui lui permettrait de mieux
affronter l’avenir. Avec le« oui » des
Mahorais,l’évolution institutionnelle
de l’Ile se fera progressivement à
partir de 2011.
Loin des caricatures parfois
véhiculées ici ou là, la feuille de route du
Gouvernement aborde cette
question avec pragmatisme et bon sens, pour le bien des Mahorais et dans l’intérêt
de la France.
Candidats aux primaires pour les régionales de 2010 : les résultats
Résultats
des primaires pour la désignation des chefs de file lors des élections
régionales de 2010. Vote électronique réalisé entre le lundi 16 mars
2009 à 8h00 et le dimanche 22 mars 2009 à 15h00.
Seule solution pour faire face à la crise : Investir
Financiers sans scrupule, frilosité des banquiers, libéralisme à
outrance : en période de crise, les boucs émissaires sont jetés en
pâture à la fronde populaire. Au milieu des rumeurs entretenues par la presse,
il n'est pas aisé de démêler les causes véridiques et les causes purement
démagogiques avancées à la crise. Or la cause originelle de la crise financière qui
touche aujourd'hui la France est simple: la chute des prix de l'immobilier.
Après une décennie de hausse dans l'ensemble des pays du monde du fait d'une
bulle spéculative entretenue par des taux d'intérêts globalement très
bas et une politique de prêts à risque pratiquée par l’ensemble des
banques, les prix de l'immobilier ont brutalement fondus à partir de
l'été 2007: l'ensemble des banques avait prêté pour financer des
achats immobiliers sachant que la condition sine qua non du remboursement
demeurait la perpétuelle hausse des prix. Le début de la baisse des prix a donc
dévoilé d'énormes montants prêtés qui ne seront
potentiellement jamais recouvrés par les établissements financiers.Secouées, ébranlées, désarçonnées, le doute s’est emparé
de l’ensemble des banques ; aucune ne pouvant plus garantir de la santé de
ses consœurs.
La propagation de la crise
Alors que l'équilibre de toute notre
économie est fondé sur les échanges interbancaires, c'est-à-dire les
prêts mutuels que s'accordent les banques afin de pouvoir répondre aux besoins
d'argent de leurs clients; cet équilibre a été remis en question du fait de la
perte de confiance entre les banques elles-mêmes. En effet, la plupart d'entre
elles ayant accordé des prêts qu'elle ne recouvriront peut-être jamais,
hésitent à s'accorder des crédits.La perte de confiance atteint son paroxysme et gagne
l'ensemble de l'économie au moment où les banques elles-mêmes doutent entre
elles sur leurs capacités mutuelles de remboursement. Fonds disponibles moins
importants au sein des banques, diminution de échanges interbancaires,
réduction des prêts consentis, le résultat est immédiatement répercuté sur les
clients qui voient leurs capacités de crédits diminuées. La solution est alors simple : rétablir cette confiance
disparue.
La solution gouvernementale
Aider
les banques, assurer la santé des institutions
financières, réamorcer la pompe de l’économie en injectant de l’argent
apparaît
comme l’unique solution à la crise. Cela passe par l'investissement,
tel est le message
martelé par le Ministre du Budget Eric Woerth lors de son passage à
Mont-de-Marsan,
message s'affichant dans la continuité de celui de Nicolas SARKOZY
déclarant
"Notre réponse à la crise, c'est l'investissement". L'investissement
est le seul remède efficace pouvant être proposé à la crise :est-il
nouveau ?
Non, bien au contraire. Politique largement reconnue et éprouvée,
l’investissement découle des théories keynésiennes qui démontrent
qu'un simple euro investit génère plus d'un euro de richesse pour la
nation. Panacée à la crise des années 30, la politique d'investissement
fût largement utilisée par les gouvernements aussi bien américains
qu'européens dont le Front Populaire en France. Un tel constat
obligerait l'opposition -
en faisant preuve de bonne foi - à reconnaître qu'il s'agit de la
meilleure réponse à la crise.
Mise en
place d’ un bulletin de liaison de l’UMP40
le trait d’union . 40
Afin de
répondre à un réel besoin des militants et des adhérents nous avons réalisé un
bulletin d’information avec un double objectif :
Vous tenir
au courant de ce qui se passe à l’UMP tant au niveau local, départemental que
national.
Vous fournir
les arguments pour promouvoir et défendre nos idées auprès de vos proches,
voisins et amis de nous assurer les meilleures chances de victoire aux
prochaines élections locales ou nationales.
Vous pouvez
vous le procurer auprès des membres des comités de circonscription ou bien le
consulter sur ce blog.
Possibilité de covoiturage
au départ de DAX (stade) et St Vincent de Tyrosse (église) à 18h00
Conseil National du 24 janvier 2009
le mouvement populaire
Chers adhérents,
Le premier
Conseil National de l'année 2009 s'est tenu hier, en présence du Président de
la République. C'est un temps fort pour le Mouvement Populaire.
Une nouvelle équipe dirigeante a été élue autour d'un secrétariat
général et d'une vice-présidence du Conseil national.
A mes côtés,
quatre secrétaires généraux adjoints : Eric Besson, Marc-Philippe
Daubresse, Nathalie Kosciusko-Morizet et Axel Poniatowski.
Au bureau du Conseil national, ont été élus aux côtés de Jean-Pierre Raffarin,
premier vice-président, trois vice-présidents : Brice Hortefeux,
Jean-Louis Borloo, Michèle Alliot-Marie.
Une partie de nos travaux a été consacrée à l'Europe avec le bilan de la
Présidence française de l'Union européenne et la présentation des candidats
qui, dans chacune des circonscriptions européennes, conduiront la campagne du
Mouvement Populaire aux élections européennes du 7 juin prochain. Je vous
invite à les découvrir sur le site de l'UMP.
J'ai le plaisir de vous inviter à retrouver les moments forts de cette
journée en vidéo. Les principaux discours, parmi lesquels ceux du président
de la République et du Premier ministre, sont également disponibles sur le site
www.u-m-p.org
Très cordialement,
Le travail législatif fait débat à l’Assemblée Nationale
Depuis
le 13 janvier 2009, l’UMP participe au débat parlementaire du projet de
loi sur la réforme du travail législatif discuté à l’Assemblée
nationale en application de la réforme des Institutions.
Le
vote de résolutions, les conditions de présentation des projets de loi
et le cadre général d’exercice du droit d’amendement sont les trois
points qui sont discutés. Décidée à obtenir la fin du droit
d’obstruction, l’UMP souhaite que le droit d’amendement ne soit plus,
comme c’est le cas depuis des années, un procédé d’obstruction aux
réformes qui amène au dévoiement des procédures. Aujourd’hui,
grâce au dépôt d’une multitude d’amendements, parfois 10 000 sur un
seul texte, le PS organise des opérations de blocage du travail
démocratique, plutôt que sa participation au vrai travail de fond. L’exigence de clarté dans les débats du Parlement est inscrite dans la Constitution.
La
réforme des Institutions a été construite de manière consensuelle,
votée en juillet 2008, elle a vocation à donner plus de pouvoir au
Parlement, il est donc logique qu’une réorganisation de ce nouveau
pouvoir soit faite. L’organisation du retard d’examen des textes par le
PS n’est pas de nature à aider le Parlement à peser dans le travail
politique. Alors que ce texte vise à organiser les pouvoirs du
Parlement plutôt qu’à les limiter et condamne l’entreprise de
désinformation à laquelle se livre le PS sur ce sujet. Les Français
attendent que le pays se rassemble pour mener les réformes urgentes.
La
démocratie ne doit pas bloquer le fonctionnement du Parlement d’autant
plus lorsque les pouvoirs de ce dernier sont renforcés.
Réforme des collectivités locales : pas de statu quo
Dans les jours qui viennent, l’UMP va lancer un nouveau débat interne sur la réforme des collectivités territoriales. En organisant le
débat avec ses élus locaux ainsi qu’avec ses adhérents, notamment sur
internet, l’UMP entend être en avance sur la réforme et définira sa position sur cette question .
Une
réforme de cette ampleur doit faire l’objet d’un large débat au sein de
la majorité. Plusieurs questions notamment celles de la fusion, des
élus, des administrations ou encore des compétences seront posées lors
de débat, dont l’objectif est de définir le rythme et l’ampleur de la
réforme.
Un nouveau rendez-vous démocratique.
Choix des chefs de file régionaux : l' UMP souhaite que
l'ensemble de ses adhérents désigne les chefs de file régionaux
en vue des élections régionales qui auront lieu en mars 2010.
Au
seuil de cette nouvelle année, et au nom de toute l’équipe
départementale, je présente à chacune et chacun d’entre vous des vœux
chaleureux de bonne année 2009.
Le
15 novembre dernier les adhérents de la Fédération des Landes ont élu
leurs représentants, pour trois ans, au sein des instances locales et
nationales (Délégués de Circonscription, Membres des Comités de Circonscription, Délégués de la Fédération au Conseil National)
Je tiens à remercier celles et ceux qui se sont présentés à vos suffrages.
Ces
élections se sont déroulées dans d’excellentes conditions et prouvent,
si nécessaire, la bonne santé démocratique de notre mouvement.
Je
tiens particulièrement à féliciter les personnes élues et les remercie
par avance de leur engagement au sein de notre mouvement.
Hélas
comme toujours lors d’une élection il y a des candidats battus, mais au
regard du travail qui nous attend, j’invite ceux qui ont envie de
s’impliquer, à le faire.
Chacun d’entre vous, quel que soit son niveau de responsabilité, doit concourir aux actions et réflexions qui seront menées dans sa circonscription.
Avec l’élection des comités de circonscription et du Président du Comité Départemental, le renouvellement de nos instances départementales est terminé.
Il nous faut dès à présent se mettre au travail afin de préparer
l’alternance politique dans les Landes…L’année 2009 sera l’occasion de
grands rendez-vous militants avec les élections européennes mais
également avec le vote des adhérents de l’UMP pour désigner les chefs
de file UMP aux élections régionales de 2010.
Rendez-vous capital auquel
l’UMP souhaite se préparer le plus en amont possible, en poursuivant un
objectif clair : ne pas laisser les régions en dehors du mouvement de
transformation et de réforme de la France, engagé par le Président de
la République, son gouvernement et la majorité parlementaire.
Pour
s’assurer les conditions de la reconquête, l’UMP entend incarner le
camp de l’audace et du changement tout en permettant l’expression des
différences, en les confrontant et en les conjuguant pour développer un
projet et des équipes pour chacune de nos régions.
Les Cantons du Seignanx et
de Peyrehorade vous donnent rendez vous pour la traditionnelle
galette des rois le samedi
10 janvier 2009 à 19h00 au restaurant KIWI HOTEL- 40300 Port de Lanne (repas 20€)
Prière de réserver votre
repas à M. LAFITTE François (Délégué du Canton de
Peyrehorade) n°tel:
06.09.58.04.36 ou bien par e-mail: francois.jean.lafitte@wanadoo.fr
Cantons de St Vincent de
Tyrosse
Rendez vous le samedi 17
janvier à 17h00 à la salle
David Chabas entrée avenue du Général de GAULLE à CAPBRETON
Réservation auprès de François MATHIO :francois.mathio@wanadoo.fr
ou tél. 06 74 83 15 86
Cantons
de DAX Nord et DAX Sud
Rendez
vous le 18 janvier 2009 à partir de 16hà la salle du Temps Libre rue
Edmond ROSTAND à Saint Paul les Dax
Réservation auprès de Josiane CAMBON ( Dax
Sud) : josiane.cambon@wanadoo.fr
Jean du VAL (Dax Nord) :valjean @ac-bordeaux.fr
ou tél. 06 74 83
15 86
Canton de Soustons
Rendez-vous
le 23 janvier à partir de 18h dans la salle DARMENTE à la mairie
d'Hossegor, réservation auprès des responsables du
canton:ch.duplaix@wanadoo.fr ~ Hossegor, duprat.francis@wanadoo.fr~ St
Geours de Maremne, jean-jacques.fix049@orange.fr ~ Seignosse,
serge.lucmaret@wanadoo.fr ~ Soustons
Comme l’ a déclaré Arnaud TAUZIN
à la presse à l’issue de la réunion <<……….. le comité départemental est uni, soudé et en action. La succession
d’Henri Emmanuelli va bien se poser un jour, nous sommes dès à présent au
travail pour qu’elle soit l’occasion d’une alternance politique dans les
Landes………..>>
Le 15 novembre
dernier les adhérents de la Fédération des
Landes ont élu leurs représentants, pour trois ans, au sein des instances
locales et nationale ( Délégués de Circonscription, Membres des Comités de
Circonscription, Délégués de la Fédération au Conseil National ).
Le 20 décembre à 15h00 à AMOU, les
membres élus des trois Comités de circonscription et les membres de droit,
réunis en Comité Départemental, éliront le Président Départemental.
Les membres élus sont :
1ère Circonscription :
Délégué :
Hervé
BAYARD
Délégués au Conseil National :
Frédéric BUCAMP - Julien DUBOIS.
Membres du Comité :
Joël ARTIGUES
- Danièle BONINI - Jean CAUSSADE - Chantal COUTURIER - Alain DELOUZE
- Clotilde DEVERT- Julien DUBOIS - Jean Marie DUROU - Grégory GENEVOIS
- Annie HILLCOCK - Marc Bernard LAFAURIE – Denis PAUILLAC - Jésus VINUESA.
2ème Circonscription :
Délégué :
Bernard
PAYSAN
Délégués au Conseil National :
Jean Pierre DANASTAS - Patrice ORLIAGUET.
Membres du Comité :
Michel BERNADET - Josiane CAMBON -
Nathalie CASTETS - Julien CAUBET - Jean DU VAL -
Stéphanie DUBARRY - Chantal DUPLAIX - Francis DUPRAT - Jean
Jacques FIX - Corinne HIRIBARNE - Michel LACOSTE -
François LAFITTE - Bruno LAPEGUE - Serge LUCMARET - François MATHIO
- Damien SORRAING - Raymond VIALE.
3ème Circonscription :
Délégué :
Arnaud TAUZIN
Délégué au Conseil National :
Jean
Jacques DARMAILLACQ.
Membres du Comité :
Pierre ALDHUY - Pierre
Daniel BRUNEL- Lionel CAMBLANNE - Alain Cédric CAZAUMAYOU - Jean
Pierre DUBASQUE - Bernard LACOUTURE - Gérald LERCHE - Gilles SARRAN
- Régine TASTET.
La France présidera l'Union Européenne du 1er juillet au 31 décembre 2008.
Elle
succédera à la Slovénie et sera suivie par la République Tchèque au 1er
semestre 2009. Le programme de la présidence française s'inscrit donc
dans une continuité avec les autres présidences. Avec la Slovénie, la
France a élaboré le programme de travail du Conseil pour l'année 2008.
Avec la République Tchèque et la Suède (qui sera à la Présidence au
second semestre 2009), elle forme une troïka (groupe de 3 entités)
chargée d'assurer la continuité des travaux du Conseil en 2008 et 2009.
Ce sera
la 12ème fois depuis 1958 que la France assure cette fonction. La
précédente remonte à 2000, sous la Présidence de Jacques Chirac, et
s'était conclue avec la signature du traité de Nice. Une nouvelle
présidence française n'interviendra pas avant 13 ou 15 ans. Chaque
présidence n'étant que de 6 mois, la France aura la responsabilité :
- d'accélérer un certain nombre de dossiers en cours afin de les mener à bien,
- d'impulser de nouveaux projets.
Les priorités de la présidencefrançaise :
- Mobiliser l'Europe contre le dérèglement climatique,
- Conclure un pacte européen de l'immigration et du droit d'asile,
- Préparer la réforme de la PAC (Politique Agricole Commune),
- Renforcer la capacité de défense de l'Europe au service de la paix et de la sécurité.
Pour en
savoir plus et suivre au plus près le parcours de la présidence
française de l'Union Européenne, connectez vous au site web créé à cet
effet :
Pour
retrouver les grandes lignes sur les réformes entreprises par Nicolas
Sarkozy et son gouvernement et toutes les informations utiles, le
"trait d'Union" se charge de vous dresser des synthèses à télécharger
ci-dessous. Bonne lecture.
Le trait d'Union du 11 juillet 2008 : cliquezIci"L'Union pour la méditerranée"
Le trait d'Union du 04 juillet 2008 : cliquezIci"La présidence Française de l'UE"
Le trait d'Union du 23 mai 2008 : cliquez Ici "Réforme des retraites"
Le trait d'Union du 22 mai 2008 : cliquez Ici "Les syndicats et la réforme des retraites"
Le trait d'Union du 11 avril 2008 : cliquezIci - "Savoir tirer les leçons des élections"
Le trait d'Union du 28 mars 2008 : cliquez Ici - Réformer plus vite, plus fort, plus juste"
Le trait d'Union du 24 mars 2008 : cliquez Ici - "Les chiffres de la semaine"
Le trait d'Union du 09 mai 2008 : cliquez Ici "Pouvoir d'achat et niches fiscales"
Le trait d'Union du 16 mai 2008 : cliquez Ici "Service minimum à l'école"
Le trait d'Union du 25 avril 2008 : cliquez Ici "Un an de Présidence"
Le trait d'Union du 18 avril 2008 : cliquez Ici - "Quelques chiifres sur l'Education nationale"
Il
faut sortir de la lutte des classes, du discours ringard de ces
conservateurs de « gauche » (H. Emmanuelli et consorts) contre les
réformistes de « droite ». Qu’est ce que veut faire Nicolas SARKOZY
sinon réformer ce qui doit l’être !
Depuis
1958, date de la dernière réforme de la carte judiciaire, rien n’a
changé en matière de carte judiciaire. La population est passée d’une
ruralité séculaire, à la création de nouvelles citées et de banlieues délicates en pleine extension.
Revoir
le fonctionnement de notre justice est un vrai marathon qu’a entrepris
Rachida DATI, Ministre de la Justice, avec beaucoup de courage : celui
de réconcilier les français avec leur justice et pas forcément de
lisser les avocats et les fonctionnaires dans le sens du poil.
Le
Chef de l’Etat l’avait dit et plusieurs fois répété pendant sa campagne
électorale et dès son accession au pouvoir, il mettrait en œuvre un
maximum de réformes.
Les
Françaises et les Français qui l’ont largement élu pour son programme
n’ont pas été pris en traître. Les minorités doivent être entendues
mais elles ne doivent pas dicter leur loi. Les vieux « grognards » de
la SNCF refusent la disparition de leur régime spécial et en appellent
à la rue pour soutenir leurs revendications d’un autre âge.
Ne va-t-on pas accuser aussi notre Président de la République de voir le baril de pétrole à bientôt 100 dollars ?
Comment
voulez vous que la France s’en sorte avec des discours d’un autre âge
de la bouche de horde de grognons qui sont campés sur leur position et
accrochés à leurs droits acquis.
Les réformes sont en marche et la France va enfin changer et vaincre le fatalisme ambiant autoentretenu qui n’a que trop duré.
Le Président de la République, Nicolas Sarkozy, à Dax
Le 31 juillet
dernier la visite du chef de l'Etat Français, Nicolas Sarkozy, fût un
honneur pour la ville et une reconnaissance pour le centre Hospitalier
de Dax Côte d'Argent, en particulier pour la qualité de la prise en
charge des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer.
La visite officielle
s'est terminée avec l'accueil du Président de la République à l'hôtel
de ville par Jacques Forté, en présence des Elus et des personnalités
civiles et militaires.
Notre position au moment du vote de
ce Budget Primitif 2009 correspond à celle que doivent adopter des élus
responsables dans un contexte bien particulier, celui de ce difficile début
d’année 2009.
Alors que notre pays traverse une
crise économique sans précédent, que notre département est dévasté par la tempête,
il nous semble en effet plus sage de mettre provisoirement de côté nos
divergences. Nous ne souhaitons pas suivre l’attitude, on ne peut plus
singulière, adoptée par certains parlementaires lors de la présentation et du
vote du projet de relance du gouvernement, alors même, que l’intérêt supérieur
de la Nation était en jeu.
Nous voulons, face à l’adversité
climatique et économique, nous comporter sans esprit partisan.
En élus solidaires qui savent se
serrer les coudes, lorsque leur territoire de compétence est en difficulté.
En élus consciencieux qui oeuvrent
pour améliorer l’avenir du Département et de sa population.
Population même, qui, profondément
meurtrie le 24 janvier dernier, a fait preuve d’un remarquable élan de
solidarité et qui mérite aujourd’hui, encore plus qu’hier, que nous soyons
dignes et fiers de la confiance qu’elle a placée en nous.
La reconstruction sera longue,
difficile et coûteuse. Nous le savons. Elle nécessitera l’union et la
concertation avec l’ensemble des forces vives landaises, mais aussi le soutien
des pouvoirs publics. Nous sommes présents dans cet indispensable processus.
Le vote du groupe UMP-Nouveau
Centre n’a qu’un caractère symbolique mais il témoigne pour nous, de la volonté
de la droite landaise de participer activement et sans a priori, à panser les
plaies de la tempête pour que le Département retrouve rapidement dynamisme et
attractivité.
Pour toutes ces raisons de bon
sens, nous avons décidé de nous abstenir.
Une abstention plus de principe que
de conviction.
15 à 20 % des élèves quittent l’école primaire en ayant de graves lacunes dans les domaines de la lecture, de l’écriture et des mathématiques
LaFrance est devancée par tous les Etats européens de taille comparable selon les enquêtes internationales
La dépense moyenne par lycéen est supérieure de 22% à celle de tous les pays développés ; un mois de lycée coûte 1 milliard d’euros ; 1 bachelier sur 2 échoue au moins une fois au cours du premier cycle universitaire.
Le budget de l’Education nationale a été multiplié par deux en 20 ans. Il est de 58,7 milliards d’euros en 2009, soit l’équivalent de la totalité de l’impôt sur le revenu des français ;
L’école échoue à corriger les inégalités sociales : la probabilité qu’un enfant d’ouvrier ne sache pas lire à l’entrée en sixième est huit fois plus forte que celle d’un enfant de cadre;
Face à cela, que propose la gauche ? Rien, si ce n’est d’ajouter encore des moyens alors qu’une telle politique n’a donné aucun résultat depuis 20 ans.
On vous dit que Xavier Darcos veut supprimer la maternelle ? C’est FAUX !
Un nouvel élan pour l’école maternelle, une école à part entière.
Xavier Darcos a réaffirmé la place essentielle de l’école maternelle au sein du système éducatif. Celle-ci joue un rôle primordial pour permettre aux élèves d’acquérir les règles, les notions et le vocabulaire qui leur seront indispensables pour réussir à l’école élémentaire. L’école maternelle a été dotée, pour la première foisà la rentrée 2008, de véritables programmes qui remplacent les simples « instructions » en vigueur jusqu’alors.
La quasi-totalité des enfants sont scolarisés dès l’âge de 3 ans : au total 2,5 millions d’enfants sont accueillis.
Quatre mesures clé vont contribuer à mieux reconnaitre la spécificité de l’école maternelle :
Pour mieux faire connaître l’école maternelle et le travail de ceux qui y encadre les enfants, un « Guide aux parents », élaboré avec l’AGEEM (Association générale des écoles et classes maternelles publiques), sera diffusé à toutes les familles d’enfants scolarisés à l’école maternelle dés le mois de mars 2009.
Pour mieux former les enseignants, un plan national de formation à l’entrée dans le métier et de formation continue est lancé pour les enseignants de maternelle.
Pour mieux appuyer les équipes pédagogiques, ce plan s’appuiera sur la création dans chaque département d’un pôle pédagogique spécifique piloté par un inspecteur de l’éducation nationale. Et de nouvelles «ressources pour faire la classe » seront publiées.
La loi prévoit que l’école maternelle accueille aussi des enfants de 2 à 3 ans, en fonction des places disponibles. Rien ne change, la loi continuera de s’appliquer dans les mêmes conditions qu’aujourd’hui.
On vous dit que Xavier Darcos veut laisser de côté les élèves en difficulté ?C’estFAUX !
En primaire : une réponse à la difficulté mieux adaptée pour chaque situation
Les deux heures libérées du samedi matin sont réinvesties au profit des élèves les plus en difficulté sous forme d’aide personnalisée assurée par les enseignants.
Des stages gratuits de remise à niveau, en français et en mathématiques, sont organisés pendant les vacances scolaires pour les élèves de CM1 et de CM2 et assurés par des enseignants volontaires rémunérés sous forme d’heures supplémentaires.
Un nouveau système d'évaluation des élèves de CE1 et de CM2 est mis en place en français et en mathématiques dans le cadre de la réforme de l’école primaire. Des outils d'évaluation visant à faire progresser les élèves et aidant à la communication avec les parents d'élèves seront mis à la disposition des enseignants. Ces évaluations ont eu lieu pour le CM2, dès cette année, au mois de janvier car ce n’est pas en fin d’année qu’il convient de repérer les difficultés des élèves mais lorsqu’il est encore temps d’y remédier.
3000 maîtres spécialisés sur les 11000 enseignants exerçant au sein des RASED vont être sédentarisés :
1500 maîtres spécialisés itinérants seront affectés par l’inspecteur d’académie dans une école en tant que titulaires d’une classe à plein temps. Cette nouvelle implantation se fera, dans toute la mesure du possible, au sein de l’aire géographique d’intervention du RASED.
1500 maîtres spécialisés seront affectés en tant que maître surnuméraire dans une école pour traiter la difficulté scolaire au plus près des élèves.
Rappelons en effet que l’aide personnalisée aux élèves en difficulté s’effectue désormais en priorité dans le cadre des deux heures hebdomadaires dispensées par chaque enseignant pour les élèves de sa classe, ce qui évite aux élèves la situation paradoxale d’avoir à rater certains cours pour en rattraper d’autres.
De nouveaux services pour les élèves :
L’accompagnement éducatifdans tous les collèges permet aux collégiens de bénéficier d’unsoutien scolaire, d’activités culturelles et sportives quatre soirs par semaine, entre 16h et 18h. 320 millions d’euros et 1,2 millions d’heures supplémentaires y sont consacrés.
La reconquête du mois de juin généralisée cette année va permettre à l’ensemble des élèves de terminer les programmes de leur année, même lorsque leur établissement est centre d’examen pour le baccalauréat. L’épreuve de philosophie au baccalauréat a été repoussée d’une semaine et se déroulera le 18 juin 2009.
La création d’un dispositif de réussite scolaire dans 200 lycées donne la possibilité aux lycéens qui le souhaitent de participer à des stages de remise à niveau et à des cours d’anglais pendant les vacances.
On vous dit qu’avec Xavier Darcos la qualité de l’enseignement baisse ? C’est FAUX !
Une meilleure utilisation des moyens
A la rentrée prochaine, 500 classes supplémentaires auront été créées dans le premier degré pour accompagner les nouveaux besoins liés à la démographie.
Les lycées difficiles bénéficieront de la création de 600 postes, dans la continuité du plan espoir banlieue. Ces postes seront créés sur projet pour enrichir encore l’offre éducative proposée par ces établissements qui bénéficient déjà d’un taux d’encadrement de 20% supérieur à la moyenne.
5000 médiateurs de la réussite scolaire seront recrutés dans le cadre de la création de 100 000 emplois aidés décidés par le Président de la République pour le plan de relance ; ils auront pour mission d’entre en relation constante avec les familles, afin de remédier à l’absentéisme et au décrochage, source d’échec scolaire et de délinquance.
La revalorisation de la condition enseignante participe à la qualité de l’enseignement
Plusieurs mesures ont un effet sur le pouvoir d’achat des enseignants :
- Les enseignants débutants ont reçu cette année une prime d’installation de 1 500 euros
- Les enseignants qui font plus de 3 heures supplémentaires ont reçu une prime de 500 euros, qui s’ajoute aux gains tirés de la défiscalisation et de l’exonération de charges sociales de ces heures.
- Les enseignants pourront bientôt bénéficier d'un prêt à taux zéro pour acquérie leur logement lorsqu'ils changent d'affectation.
- La rénovation de la formation des maîtres, avec un recrutement à bac+ 5, a pour but d'élever le niveau de qualification des futurs enseignants pour assurer une meilleure qualité d'enseignement aux élèves. Bien entendu, les étudiants auront accès à des stages d'observation en première année et à des stages en situation en 2è année de master.
Le plan de relance du parti socialiste est
essentiellement tourné vers une relance de la consommation. Il consiste à
distribuer de l’argent à tout le monde, sans contrepartie d’activité
supplémentaire Il s’agit là d’une
véritable erreur économique.
Le plan
de relance du PS : un contresens économique qui coûte cher.
Force
est de constater que le plan de relance socialiste renoue avec les vieilles
recettes que le PS a su si bien appliqué par le passé et qui ont conduit à la
dérive des comptes publics et, au début des années 80, au blocage des revenus
c’est à dire du pouvoir d’achat des Français.
Un plan
d'urgence socialiste, pas si urgent que cela...
Présenté
le 21 janvier, ce plan intervient cinq mois après la faillite de Lehman
Brothers, quatre mois après le débat sur la crise financière qui s'est tenu à
l'Assemblée, trois mois après la présentation du plan de sécurisation du
système financier, deux mois après la présentation du plan de relance du
gouvernement et un mois après que ce plan de relance a commencé à être débattu
devant l'Assemblée .Nationale.
C'est un peu tard….! Où est le sens de l'urgence et
des responsabilités du Parti socialiste ?
Au-delà
du geste sympathique qui consisterait à faire un chèque de 500 euros aux
Français, à augmenter le SMIC ou encore à baisser la TVA, il convient de
s’interroger sur les conséquences économiques de ce que propose le plan de relance socialiste.
Un plan
entre mauvaise foi et mensonge
Un chèque anti-crise
? ERREUR !
Ce chèque anti-crise irait non pas vers
la consommation mais plutôt vers l’épargne, les Français inquiets pour leur
avenir étant moins enclins à dépenser. Ou bien, ils dépenseront cette somme
pour acheter des produits importés, ce qui dégraderait le déficit commercial.
Baisser d'un
point la TVA ? ERREUR !
Concernant la baisse d’un point de la TVA,
il s’agit d’une mesure coûteuse sans réel impact sur le porte-monnaie des
ménages. Aucun pays de la zone euro n’a retenu l’idée d’une baisse de la TVA.
Et parmi les 27 de l’Union, le Royaume-Uni est le seul à l’avoir décidé.
L’effondrement de sa consommation et son économie de services nous distingue
des Britanniques. […] pour l’heure, au premier mois de cette baisse de la TVA,
les ventes de détail ont baissé outre-manche de 3,3%, soit la plus mauvaise
performance depuis quatorze ans ».
Augmenter le SMIC de 3% ? ERREUR !
Quant à une hausse de 3% du SMIC, une
telle mesure est « inadaptée et dangereuse pour l’emploi », car elle freinerait
considérablement la compétitivité des entreprises déjà fragilisées par la
crise. Dans le contexte actuel, c’est en réalité condamner des dizaines de
milliers de salariés au chômage !
Lorsque le Parti socialiste met en avant
l’exemple de ce que José Luis Zapatero a fait en Espagne en doublant le salaire
minimum, il oublie de préciser que celui-ci est de 600 euros, alors que le SMIC
français s’élève à plus du double.
Supprimer la loi
PEPA ? ERREUR !
Par ailleurs, le plan de relance socialiste
propose de supprimer les mesures fiscales adoptées à l’été 2007 (loi
PEPA) : c’ est à dire
en réalité, une augmentation des impôts de 11 milliards d’euros !
« La gauche prétend vouloir donner du pouvoir
d’achat en plus aux classes moyennes, et elle le finance par du pouvoir d’achat
en moins pour les classes moyennes ». Comme l’a fait remarquer le Premier
Ministre dans sa réponse aux socialistes lors du débat sur la motion de censure
déposée par l’opposition «..que les socialistes précisent ce qu’ils veulent
supprimer».
«..Il
serait socialement injuste de supprimer l’exonération des heures
supplémentaires qui a bénéficié à 6 millions de foyers fiscaux modestes.
Reprendre aux Français, qui travaillent davantage, les 3 milliards d’euros qui
les récompensent serait inique. Supprimer le crédit d’impôt logement, au moment
même où il faut compenser le tarissement du crédit immobilier et
l’essoufflement du secteur du logement, ce serait totalement irresponsable.
Enfin, supprimer l’exonération des successions et des donations, à l’heure où
les familles sont soucieuses de s’entraider, ce serait injuste ».
Augmenter le coût
des licenciements ? ERREUR !
Autre défaut de ce plan, il propose d’augmenter le coût des
licenciements dits boursiers.
Martine
Aubry avait déjà mis en place cette mesure dans le cadre de la loi de
modernisation sociale, sans pour autant que les plans sociaux ne diminuent.
Geler les
suppressions de postes dans la fonction publique ? ERREUR !
Le plan de relance des socialistes engage des dépenses
qui seront durables pour notre économie et qui sont vouées à rendre
impossible toute remise en ordre ultérieure de nos finances publiques.
Et parmi ces dépenses, figure le gel des
suppressions de postes dans la fonction publique.
Alors
même, que pas un pays d’Europe, qu’il soit libéral ou socialiste, n’ait
modernisé l’organisation de son Etat et réduit ses effectifs !
30.000 emplois dans la fonction publique: c’est
ce que réclament les socialistes, ce n’est pas un choix ponctuel pour répondre
à la crise, c’est simplement un choix
idéologique !
Sans
réforme de l’Etat, sans révision de nos politiques publiques, nous n’arriverons
jamais à rééquilibrer nos comptes ! Et par là même, nous n’arriverons pas à
rétablir la confiance qui s’attache à la saine gestion de la France .
Ce plan d’un autre âge montre combien les
socialistes ne sont pas en phase avec les réalités économiques et n’ont pas
changé d’idéologie.
Certaines propositions, que le PS met en avant sont judicieuses.
Problème :
le gouvernement les a déjà mises en œuvre :
Un
plan de relance de l’économie de 26 milliards d’euros, tourné vers
l'investissement public.
Soutien
au secteur du logement et de l’automobile.
Mesures
en faveur de l’emploi et de la solidarité.
La
France a d’abord un problème de compétitivité.
L’inflation,
en 2009, sera, dans notre pays, à un niveau historiquement bas.
La
meilleure politique de relance, c'est celle qui soutient l’activité aujourd'hui
et prépare la compétitivité de demain.
Le
plan de relance du gouvernement n’oublie pas les plus fragileset fait jouer la solidarité avec les plus
modestes.
Une
prime de 200 euros sera versée en avril 2009 aux futurs bénéficiaires du RSA,
soit près de 4 millions de personnes.
Une
prime exceptionnelle de 220 euros sera versée aux allocataires de minima
sociaux.
500M
d' euros sont affectés aux nouvelles politiques actives de l'emploi.
Le
minimum vieillesse augmentera de 7% en 2009.
La
prise en charge de 50% du montant des cartes de transport.
Les Elus de la Droite et du Centre pour les Landes ont écrit à Mme Roselyne BACHELOT, Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des sports, afin d'attirer toute son attention sur la spécificité du département des Landes concernant la réformes des gardes médicales actuellement en préparation.
Même si les ragots entretiennent certaines rumeurs et affirmations, Monsieur Plantier, élu Maire de Mimizan, n’a jamais demandé le soutien de l’UMP.
Lors du Comité Départemental du 6 décembre 2007, seule la candidature de Monsieur Daunesse a été examinée.
La position de l’UMP, pour le 2ème tour, n’à été dictée que par la seule volonté de ses dirigeants de faire barrage à la gauche.
….de la démission d’Henry Fabères
7 mois après avoir adhéré à l’UMP (le 21 septembre 2007), Monsieur Fabères nous informes par courriel du 7 avril 2008 de sa démission.
Sa décision est motivée par le fait qu’il n’a pas obtenu lors du Comité Départemental du 6 décembre 2007 le soutien de l’UMP pour les élections municipales de St-Vincent-de- Tyrosse.
La préférence ayant été donnée à François Mathio, délégué UMP du canton de Tyrosse.
…des élections municipales de Dax.
La défaite de Jacques Forté appelle aujourd’hui face à certains commentaires quelques explications pour qu’à l’avenir nous sachions tirer les enseignements permettant de rassembler l’ensemble de la « Droite » dacquoise.
Le score de Jacques Forté lors des dernières élections législatives aurait dû attirer notre attention (+109 voix devant le candidat PS en 2007 contre + de 1200 en 2002).
Jacques Forté, étant dans une logique de ville, n’a jamais souhaité que sa liste soit associée à l’UMP.
Il l’a d’ailleurs clairement annoncé lors d’une réunion devant les cadres de l’UMP du canton de Dax Sud.
De ce fait, les adhérents et sympathisants de l’UMP se sont sentis libres dès le 1er tour pour soutenir le candidat de « Droite » de leur choix.
Pour le 2ème tour, la victoire de la « Droite » était suspendue à la seule entente entre Messieurs Forté et Pécastaing. Cette entente n’ayant pas été trouvée, le résultat est maintenant malheureusement connu.
Aujourd’hui, il ne sert à rien d’entretenir les rancœurs.
Aussi, si nous souhaitons reconquérir la ville de Dax dans 6 ans, il nous faut aller de l'avant et rassembler toute la "Droite" dacquoise".
Au lendemain de la signature du traité simplifié par les 27 pays de l’Union Européenne, l’UMP continue de placer l’Europe au cœur de l’actualité et poursuit ses rencontres avec les Français en organisant un week-end « 48h pour l’Europe ». Vous souhaitez poser une question ? N'hésitez pas, un simlple clic sur le lien ci-dessous :